Éloge du minimalisme, ce dispositif architectural auto-construit prolonge une démarche artistique initiée par l’agence à ses débuts. Par ses lignes simples et minimales, il incarne une architecture poétique qui joue avec la transparence.
Né d’un prototype petite-échelle créé à l’occasion d’un concours, le pavillon d’été est composé de bois, de panneaux agglomérés peints et de voiles fins.
Sans détermination fonctionnelle, l’espace laisse libre cours à l’imagination de ses occupants en les plaçant dans un espace volontairement abstrait et irréel. Éphémère dans son format, l’installation laisse une idée durable du potentiel de l’architecture comme espace libre à investir.
